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  • Je pense que cette vidéo peut aider pour les révisions, qu'en pensez-vous ??


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  • Je me suis récemment interrogée sur cette question : 

    << Est-ce que j'ai un avenir ? >>

    Et bien, de nombreuses personnes seraient prêtes à penser qu'évidemment j'en ai un, cependant est-ce vraiment si évident. J'aurais tord de dire que tout le monde pense ainsi, mais chaque jour des millions de personnes s'interroge comme moi, en cherchant constamment leur voie. J'aimerais leur donné la réponse toute faites que l'on m'a donnée:

    << I'm scared !!!!!!! >>

    J'écris parce que je sais que ce sentiment ne peux pas changé. A l'heure actuelle, je ne suis plus capable de croire, pour croire il faut avoir une connaissance que je ne possède pas et que je ne prétend pas connaître, mais si je devais faire un seul souhait se serait de l'entrevoir rien qu'un instant. Pourtant je suis incapable de penser positivement à l'avenir, lorsque je pense à cela, je m'imagine être le nombril du monde. Si j'écris ces quelques lignes, c'est parce que je sais que cela ne changera rien et que nul ne pourra rien pour moi au final. Si elle était encore là je me cacherais derrière son ombre.

    Si tu lis mon article, j'aimerais te demander : << Est-ce que l'avenir t'inquiète ? Est-ce que tu penses que cela fait de toi un-e lâche ?


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  • Mon commentaire de << Giorgio de Chirico >> de Paul ELUARD

    Encore une fois, c'est un commentaire non-rédigé de débutante qui ne doit pas être copié. Merci de votre compréhension.

    Paul ELUARD est un poète du XIXième siècle, il a été influencé par différent mouvement artistique tel que le dadaïsme et le surréalisme. En 1926, il publie son recueil de poème Capital de la douleur Ce dernier fut dédié à sa femme, mais aussi sa muse, Gala, et a été fortement influencé par le mouvement surréaliste. Ce mouvement consiste a un refus  de toutes les constructions logiques de l'esprit et défend notamment la liberté de l'écriture et de la valeur du rêve, donc de l'irrationnel qui se mêle à la réalité. Le poème de notre étude s'intitule << Giorgio de Chirico >> et s'inscrit dans la section "Mourir de ne pas Mourir" de ce recueil. Cet intitulé est une expression hyperbolique de la souffrance. Ainsi, le poème de notre étude sera placé sous le signe d'une douleur absolue, du à la trahison de Gala. De plus, le titre du poème rend hommage à Giorgio de Chirico, né en 1888 et mort en 1978, peintre surréaliste. Il peint ainsi des décors bizarres, mais aussi un monde étrange. Nous verrons en quoi ce poème est élégiaque. 

    I. L'univers du peintre à travers les yeux du poète

    1) Un décor chiritien

    - Un décor oppressant// ambigu / inquiétant : v.1 étrange =>suréaliste( image, description)                                  secret / faute => univers troublant

    -L'ombre qui défend mon ombre peureuse _ peur/tremblant --> rôle protecteur                                                    => réalité inquiétante le ns qui défend le poète = univers lugubre / mystérieux

    -ciel insensible =>univers froid/dur

    -SILENCE => absence de communication contient des éléments de la peinture de Chirico mais aussi de la situation dans laquelle se trouve Eluard.

    2) Un univers architectural qui renvoie à celui de Chirico

    -mur/tour/ciel/ombre } univers inquiétant

    II. Un poème élégiaque qui mêle tradition et modernité

    1) un poème lyrique moderne

    - 3 quatrain~> impression de régularité en métrique sauf le premier en octosyllabe alors que le reste est en alexandrin

    -pas de rimes

    - marque de la 1ère personne = me, mon

    - adresse à un interlocuteur = tu => ciel

    -Sentiments qui s'expriment à travers la description de ce décor : inquiétude/peur/absence de relation (amoureuse) évoquée par l'absence du poète dans ce monde.

    2) Expression de la souffrance d'Eluard

    - Faiblesse=> situation dèsespèrée d'Eluard avec l'évocation de son entourage ( Gala et M. Ernst ), qui l'ignore, qui ne le comprend pas.

    - Situation d'asservissemen qui contraste avec l'expression de l'amour, de la fidélité qui est sur le mode superlatif << trop fidèle >>

    => Refus de faire disparaître Gala et son Amour

    |>SENTIMENTS PARADOXAUX

    Ce poème est donc élégiaque car il met en avant à la fois les sentiments de douleur mélancolique de Chirico et d'Eluard. 

    Ouverture possible sur ce poème : << Mystère et mélancolie d'une rue >>

    << Giorgio de Chirico >> de Paul ELUARD

     

     

     


    4 commentaires
  • Mon commentaire de << Première du monde >> de Paul Eluard.

    Je souhaiterais que ce commentaire ne soit pas copier car j'y ai m'y toute mon énergie. De plus, il est plus qu'imparfait.

    Paul ELUARD est un poète du XIXième siècle, il a été influencé par différent mouvement artistique tel que le dadaïsme et le surréalisme. En 1926, il publie son recueil de poème Capital de la douleur Ce dernier fut dédié à sa femme, Gala, mais aussi sa muse, et a été fortement influencé par le mouvement surréaliste. Ce mouvement consiste a un refus  de toutes les constructions logiques de l'esprit et défend notamment la liberté de l'écriture et de la valeur du rêve, donc de l'irrationnel qui se mêle à la réalité. Le poème de notre étude s'intitule << Première du monde>> et s'inscrit dans la section "Nouveau poème", cette section contrairement au reste du recueil, qui retracent l'itinéraire sentimental tumultueux de la relation de notre poète avec sa femme Gala et l'amant de celle-ci Max Ernst, se traduit avec le lyrisme surréaliste d'Eluard la renaissance amoureuse. Nous montrerons en quoi le titre << Première du monde>> éclaire notre texte selon moi. Dans un premier temps nous verrons que le titre du poème désigne la femme aimée, puis dans un deuxième nous verrons qu'il s'agit de la lumière elle-même.

     

    Tout d'abord le titre << Première du monde >> peut être rapproché de la femme aimée, Gala, de Paul ELUARD. En effet, dans le premier quatrain, le pote semble décrire une femme avec au vers  << captive>> et <<agonisante folle>>, au vers << ta robe>>. Cela met en avant l'omniprésence de la femme aimée dans l'univers du poète, elle devient ainsi primanté. De plus, le poète semble s'adressé, tout au long du poème à un << tu >> qu'il semble questionner, avec le troisième quatrain, car ce dernier n'est qu'une question :

    << Ne peux-tu donc prendre les vagues

    Dont les barques sont les amandes

    Dans ta paume chaude et câline 

    Ou dans les boucles de ta tête ? >> 

    Cela pourrait être un procédé par lequel le poète chercherait à faire de la femme aimée un être pouvant se trouver en toute chose, car elle serait divinisée en devenant celle qui possède le monde dans sa paume, ce qui reviendrait à dire que la femme aimée est <<Première du monde >>. Le poète cherche aussi, dans ce poème à faire une comparaison entre la femme aimée et la lumière. Nous pouvons  constater que lorsque le jour se lève la femme aimée et la lumière se croise comme si la femme venait de se réveiller d'un songe où elle avait rêvé d'être la première donc dans un certain sens la lumière  qui est à l'origine de toute chose, avec au vers  à :

    << La lumière sur toi se cache, vois le ciel :

    Il a fermé tes yeux pour s'en prendre à ton r^ve

    Il a fermé tes yeux pour briser tes chaînes>>

    Ainsi, nous comprenons que la nuit s'installe et que c'est maintenant l'univers spirituel qui s'ouvre à la femme aimée, devant ainsi la première de son monde. 

     

    Dans un second temps, << Première du monde >> peut éclairer le poème au sens stricte de la  la chose, car elle désigne aussi la lumière. En effet, nous pouvons le voir avec la mise en place du champ lexical de la lumière avec << lumière >>  au vers  et au quatrième quatrain la métaphore entre le rayon des étoiles et la lumière du jour avec << Ne peux-tu pas prendre les étoiles ? / Ecartelée, tu leur ressembles,>>

    De plus il utilise le feu pour mettre encore une fois en avant le rayonnement de la lumière qui devient d'autant plus belle et importante, lorsqu'elle reste au plus proche de son origine avec une mise une relation encore une fois avec les étoiles :

    << Dans leur nid de feu tu demeures

    Et ton éclat s'en multiplie. >>

    Le poète montre ainsi que la lumière est à l'image de la femme, omniprésente depuis l'origine et qu'elle qu'elle est présente aussi bien, le jour que la nuit avec au dernier vers << Ô douce, quand tu dors, la nuit se mêle au jour.>>. D'autre part, nous constatons que le poète crée une certaine nuance de lumière comme si celle-ci était la première à apparaître dans des instants qui ne semblent pas être liés, tel un rêve avec au vers  << De l'aube baillonnée un seul cri veut jaillir>>. Ce vers monte la rupture vive avec le jour et la nuit car le <<cri>> représente les rayons du soleil, et cela met en avant la personnification de la lumière. Nous constatons cette même figure de style au vers  << Dans ta paume chaude et câline>>. Ainsi nous pouvons dire que le titre du poème éclair directement ce dernier.

    Pour conclure, le titre << Première du monde >> éclaire le poème , tout d'abord, par une assimilation à la femme aimée, puis par sa relation avec la lumière et cela au sens propre et figuré. Le titre permet de faciliter la compréhension du texte. De plus, celui-ci, nous permet de mettre en lumière le rôle de la femme aimée , dans cet univers onirique. Nous pouvons dire que cela nous montre l'appartenance de Paul ELUARD au mouvement surréaliste. Nous retrouvons cette écriture dans son poème << Giorgio de Chirico>>.

    Commentaire réalisé par Isanami SUZUKI, toute copie est strictement interdite et pourra être punit par la loi.

    Merci de votre compréhension.

    xoxo !!!!!!!


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